e PE d se ‘ T 4 694 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. cientsentiers peuvent étreexprimées rationnellement au moyen des racines de l’unité. » Ainsi ces équations abéliennes générales ne sont rien autre chose en réalité que les équations de la division du cercle. » Il existe une relation pareille entre les racines des équations abéliennes dont les coefficients sont des nom- bres complexes de la forme a + b \/———l et les racines des équations qui se présentent dans la division de la lemnis- cate : on peut généraliser ce résultat et l’étendre à toutes les équations abéliennes dont les coefficients contiennent des nombres irrationnels déterminés et racines d'équa- tions algébriques. » J'ajoute encore une remarque : si l’on applique à la forme (3) le théorème précédent sur les racines des équa- tions abéliennes à coefficients entiers, on trouve que la racine de toute équation résoluble du degré p àcoefficients entiers peut être regardée comme une somme de racines têmes de nombres complexes rationnels formés avec les . racines de l’unité. Ainsi la forme nécessaire et suffisante la plus générale de toute racine d’une équation résoluble du degrè u à coefficients entiers s’exprime au moyen de ces nombres complexes : toutefois, la recherche effective de cette forme exige une suite de propositions sur les nombres qui dépasseraient les bornes de cette commu- nication. » FIN DU TOME SECOND.