_s —" =4 te— | 680 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Or la (n — 1)'é"° puissance de la fonction linéaire Æopousét #H ‘)…(‘?z+?;x—e—l e és ONET S Dgn—1 y gut ne change pas quand on multiplie cette fonction par À; au lieu de l’équation (2), on peut donc écrire la suivante: 924 <.I‘ŸII—I+?:L+I cs )…I‘P+?[A+J HM apryapt 1 H n Ge —,_uv2,I‘?, *'+3;1—+1 \}n—l =% ( .7‘?:A—H }' Or, en remarquant que 9?"! 1 (mod.n), on reconnaît , | ( ; que celle-ci se déduit de l’équation (1) par le change- ment de y en y +1. Il suit de là que la substitution x7, X4 ne fait que permuter circulairement nos équations, rangées, à partir de la deuxième, suivant l’ordre des valeurs croissantes de u. En les résolvant par rapport aux coefficients de o, on sera conduit à des fonctions rationnelles des racines, invariables par les substitutions X7, Xh41 CL Xky Xçk3 de sorte que ces coefficients s’exprimeront bien rationnelle- ment, comme nous l’avons annoncé. Notre lemme est donc démontré, et l’on en déduit le suivant : 596. Lemmr IT. — Si une équation de degré premier est résoluble algeébriquement, l'équation de degre moindre d’une unité, qu'on forme en divisant son pre- mier membre par un de ses facteurs linéaires, appar- tient à la classe des équations abéliennes. En effet, relativement à l’équation de degré n —1, qu’on obtient par la suppression du facteur x — xay Ct dont les racines ont été représentées par Xyyay Xotas Tottas 005 TT pa on connaît rationnellement la fonction résolvante 9 ÿ ue s. ë m1l (Tare H Apte H e HHN r ps e ) e