SECTION V. — CHAPITRE V. G79 les indites étant pris toujours suivant le modulen et À deésignant une racine de l’équation binôme \ = 1, Pour démontrer cette proposition, nous ferons voir que le système des équations linéaires ainsi posées entre les coefficients indéterminés de la fonction @ n’est pas altéré lorsqu’à la place d’une racine quelconque xx on met x44, et aussi quand on remplace xx par x,k- Le premier point est évident, puisque chaque équa- tion se déduit de la précédente en ajoutant une unité aux indices des racines, et qu’en opérant de la sorte sur la dernière on reproduit la première. Le second point se vérifie aussi immédiatement par rapport à l’équation (J,‘1 + 7..r\a À- }2 xn H XT 2Jî?n—?)”_1= 9 {.r0), car la (7 — 1)ième puissance de la fonction linéaire x,—+ )“”P c32 )\2.Z‘Pfi 50e )\’1—_‘2.1*Ÿn——2 ne change pas quand on multiplie cette fonction par à ; or cela revient à multiplier les indices des racines parp, ce qui ne change pas non plus le second membre ©(xo). Mais les autres équations du système ne se comportent plus de même. Dans l’une quelconque d’entre elles u L- \ /\»Ï1+f,; H A era # K Xptto 460 H }\n_g-f甓“'“‘+a\}” = Ÿ (‘TŒ_/J faisons 2== p* (mod. n), ce qui est possible, puisque æ ne reçoit plus la valeur zéro ; il viendra rs }…l’5 )\ll—2lr’(”_2 ,,_) mn—i —0 +el -S "Ê - ( «1'1+? et, en multipliant les indices par p, F Ë ; \ (Ve-poë+i # À Xg34pu+1 —2 Xps4guH1 H ... )?-2 Xon—M _LE}L—L1j/"—1 rr f]9{Jÿçy.+l)-