\ ; Î , - ; L ï su* > — 678 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. wvariables par les substitutions de la forme Xx, Xhys k—+1 se ; ; es e cu < (les indices étant pris comme fait Galois, c suivant le module n) sont rationnellement connues, on pourra déterminer rationnellement une Jfonction en- tière 0(x) du degré n — 1, telle que l'on ait / e - =-“n —o( ) m= (.T0>, .72,_?{.rl), 2007 p 1 — P NTR)à 0005 ns = P (Un —2)® \ e On a, en effet, F(.r) = (æ—.ru) (.ï: — …"1'/} vl (.7‘——— .7‘,__1>, et, si l’on pose F(x) 7 F(x) X x — x P ce 2 -— E (xs 17 * Ps eu p Ne Es gre T 9 (=) = il est évident que ©(x) sera une fonction entière du de- gré n — 1 en x et que ses coefficients seront des fonctions des racines invariables par les substitutions de la forme Xk, Xk41 ; ON VOiL aussi immédiatement que l’on a ?(‘ï0)=-7”17 ?(.rl):x2, sc s ce qui démontre la proposition énoncée. 595. Lemme II. — Si une équation irréductible de de- gré premier n est telle, que toutes les fonctions des ra- cines invariables par les substitutions de la forme xx, Xp41y Ct de la forme x4, Xn F désignant une racine primitiçe de n, soient rationnellement connues, on pourra déterminer rationnellement une Jonction en- tière de p (x) de degré n — 1, telle que l’on ait (.1‘1 +);1‘P —i—)_e.rça +...+}_'1*2.1“?n—2 )”_1ÎL%)(.)‘U> ) ! L Nn s2 )n—2, 1—1—, n (reHdaus PR HHN \ p 2 5 Q etète Ndee E se ULs e dn .(‘rn+ A en N Xn Hoo H A x 2+”__1) = 01x H); & — ,— F (*"/1—1) ”