| | t | 674 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. avant celle de xç. Soit aussi (2\ F(V>:O / l’équation irréductible que nousavonsnommée résolvante et dont le degré exprime l’ordre du système G. L’équation (2) devient réductible par l’adjonction de x,, car soit V, l'une de ses racines, x, est exprimable en fonction rationnelle de V, ; et si l’on pose peeses 1 RE us VU Vos on pourra supposer (n° 182) que v soit une fonction entière de degré inférieur à F (V ). La racine V, est ainsi commune à l’équation ÿ{V) — X4 =0 et à l’équation (2); par conséquent celle-ci cesse d'être irréductible. Mais alors la réduction s’opère (n° 580) par la décomposition de F(V) en p facteurs du même degré, p étant un diviseur du degré de l'équation auxi- liajre irréductible dont dépend la racine adjointe. Ic cette équation auxiliaire n’est autre que la proposée elle- même dont le degré est le nombre premier n ; par consé- quent On a p=n. Ainsi l'ordre du système T est la nième partie de l'ordre G. Passons à l’adjonction de la racine xe. La racine x, fai- sant actuellement partie des quantités connues, la ra- cine xg, qu'il reste à adjoindre, est racine d'une équa- tion irréductible (3) fl(.z‘, a:Œ)=O, f(æ) dont le prcmicr membre est égal au quolicnt ou - . à un diviseur rationnel de ce quotient, et, par hypothèse, l'adjonction de xs doitréduire à l’unité le système propre à l’équation, lequel est actuellement F. Mais, en vertu