SECTION V. — CHAPITRE V. h‘57 par hypothèse, F(V) — =0 est divisible par À( V, Z0 ); ce polynôme l’est donc aussi par w( V, z0), et en consé- quence, le reste ©(V, z) de la précédente division, se réduit identiquement à zéro pour = = zp. Alors, par un raisonnement déjà employé, nous concluons que le même reste est nul pour 3 = 3,, et l’on a Y(V)—73=0(V,z,)I1(V, z,). Maintenant nous avons supposé que V, est une racine de l’équation (8) ; on a donc ; ‘Y(V1) == Zj ce qui est impossible, puisque V, est racine de l’équa- tion (5), et que z, est différente de z0. Nous concluons de là que l’équation (7) est irréduc- tible, en sorte qu’elle devient l’équation résolvante, après l’adjonction de z9. Le système conjugué propre à l’équation proposée se compose alors des u substitutions qu'on exécute en remplaçant V, par chacune des quan- tités (6) dans la permutation des racines ‘1£‘0(V0\)’ ‘r'11(VO), .. ‘j"n——l4(V0)' D'ailleurs les quantités (6) sont celles des racines de l’équation (5) qui appartiennent à la résolvante primi- tive; donc les substitutions dont nous venons de parler sont celles par lesquelles la valeur numérique z, de la fonction $ (ros ; 5 Xn_1) reste invariable. 584. Tuéonème VII. —- Le nombre p étant premier, soit y = up l'ordre du système conjugué G propre à une équation f(x)=0. Si l'on peut former avec u substitu- tions de G un système conjugue T qui reste invariable quand on exécute dans les cycles de toutes ses substitu- tions les diverses substitutions de G, il suffira d'extraire la racine piême d'une certaine quantité rationnelle, et S. — Alg. sup., IL. 42