6‘56 GOURS D'ALGÈDRE SUPÉRIEURE. ct l’on peut faire en sorte (n°182) que F soit une fonc- tion enlière d’un degré inférieur à v. Alors l’équation (5) Y(V)—z =0 admet la racine V, de l’équation (4). Soient (6) v 1. ,V p—1 les u racines communes aux équations (4)et(5), et po- sons )\(V., Z0) =(V—V0) (V— V1) …. (V'—"VP__1\; les coefficients de l’équation (7) 7\(V,zo)=0 sont rationnels après l’adjonction de = ; je dis que cette équation est irréductible. En effet, si le contraire a lieu, soit 0(V, =0) le diviseur irréductible de X(V, z0) qui s'annule pour V = V, ; on aura (théorème IIT) \ / / > F(V)=0(V,%)0(V;74) . <. o(V,2,-1), Z1, Z2, -+, Sp_, étant des racines de l’équation (2) dis- tinctes de zo ; l’équation v(V,3)=0 n’admettra qu’une partie des racines (6), et l’une de ces racines, V, par exemple, devra satisfaire à une équation telle que (8) w(V,=3,)=0o. Effectuons la division de # (V) — = par 0 (V, =) jus- qu'à ce que nous parvenions à un reste de degré inférieur au diviseur; désignons par O(V, z) ce reste, et par IL(V, z)le quotient de la division ; on aura Y(V) —==0(V,=)I(V, =) +O(V,z3);