; ; —2 Cs 652 , COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. On exécutera dans les 0)"Cl8.c de toutes ses substitutions une substitution quelconque du sy stème G. En effet, soient m e 3 == 035 deux racines de l’équation auxiliaire : 9 désigne ici une fonction rationnelle ; l’équation 9 (z=) = o étant supposée irréductible, elle admettra toutes les racines = L 2> k—1, . =03 0"01 O‘—‘01 n t û l“07 l’un des termes de cette suite se réduira à Z,, Ct si l’on suppose 024 5 -oùu 6*-19 20:==2oÿ il en résultera — 0k * =is par conséquent les racines 39 et z; sont exprimables ra- tionnellement l’une par l’autre. Il s’ensuit que les quantités connues sont les mêmes après l'adjonction de z ou après celle de z;; le sys- tème F; propre à l’équationf{a:) = 0, après l’adjonc- tion de z;, est donc le même que le système T qui est propre à l'équation après l’adjonction de zy. Et, comme les systèmes F, T peuvent être représentés par I, Slv SË7 e £Ïu.—la TC T=l e Q p—1 RE TS TS T l on voit que le système T ne changera pas si l’on mul- tiplie ces substitutions à droite par T; et à gauche par T;*, opération qui revient à exécuter la substitution T; Cans les cycles des substitutions de F. Enfin, toute substitution de G est la forme U— T;Sn, Ÿ