à en t ; CT ON CO d TS E PR S E ORE PM E E À SECTION V. — CHAPITRE V. 651 (12) s=T SL ; Les formules (8) et (9) expriment que le système conjugué G est représenté par I, 515 S2 .…> Su—ns T5 T,S1, T,525 .. T1Su—1» . T5 n e TéSps 1100 T0 …. ... ... .…... , Tp—l’ TI)—1Sh Tp—lS‘zv C T[}—ISH—U et la formule (12) exprime que les systèmes D, T1,..., T— sont P=T 75 Ss, sQU T e m4 se 3 — r,=1, 1151Ï. , T,59 T} 5 +++» T1»;L—1T. , - T C r= el m — (I4) (\ P,=1, T,S,T;", 4 159= P MS las.u—1T2 ? ns G —=f m f Fp——1 —1, Tp—lsl p-1> E E J—p—1s;x——l Tp_1' Ces systèmes sont, comme on le voit, semblables, en sorte que chacun d’eux peut se déduire du premier P en exécutant dans les cycles de chacune des substitutions de celui-ci une même substitution T, ce qui achève la démonstration du théorème énoncé. 581. Tuforème IV. — Si le système G propre à l’é- quation f(x) = 0 se réduit à un système T d’ordre in- Jérieur, par l'adjonction d'une racine de l'équation auxiliaire irréductible ©(z) = 0; si, en outre, les ra- cines de cette équation auxiliaire sont expi imables ra- tionnellement en fonction de l'une d'entre elles et des quantités connues, le système T ne changera pas quand EN