SECTION V. — CHAPITRE V. 647 haut, que le même reste est nul, quelle que soit celle des racines de l’équation (2) que l’on substitue à z; on aura en particulier RV% )/= 0 ce qui exprime que À (V, 39 ) admet le diviseur C(V, Z0)- Cette conclusion est contraire à l’hypothèse, et, par conséquent, notre assertion se trouve justifiée. Les racines de l’équation ( 3) sont toutes exprimables en fonction rationnelle de l’une quelconque d’entre elles. Cela étant rappelé, considérons les deux équations (5) \(V, z/==a; \(V, zj)=0, et désignons par V, et 0(V,) deux racines de la pre- mière, 9 étant une fonction rationnelle. Je dis que, si V; est une racine de la deuxième équation (5), 6(V4) sera également racine de la même équation. En effet, on a MVe %)=0, Me(V;), 4} e-oi en d’autres termes, l’équation M0(V), =] =0 est satisfaite quand on remplace V par la racine V, de l’équation elle admettra donc toutes les racines de cette dernière, car celle-ci n’a aucun diviseur dont les coefficients sont fonctionsrationnelles de z;, ainsi que nous venons de le démontrer. Si l’on suppose, comme cela est permis, que 6(V) soit une fonction entière, on peut dire que le po- lynôme 2[6(V), z:] est divisible par À( V, =:), ou que le reste de la division du polynôme 7{Û{LV), Z]