SECTION V. — CHAPITRE V. ailra F(V) S MV, =) A (W;2) e(V, =} et, d’après notre hypothèse, on a identiquement o(v, Zo) —0 car le polynôme O(V, z) est au plus du degré vj — 1 en V, et la précédente équation est satisfaite par chacune des u racines V de l’équation » (V, 3)=0. Ainsi, dans le polynôme ©(V, z), les coefficients des diverses puissances de V doivent s’annuler pours-—=; par conséquent, ces coefficients s’annuleront aussi si l’on y remplace z par une quelconque des racines de l’é- quation (2), puisque celle-ci est supposée irréductible. D'après cela, si l’on représente pâr 0» Z1, 229 +>+, Sm—1 los m racines de l’équation (2), le polynôme F (V ) sera divisible par chacune des fonctions /U \ “ \ A )'\\‘1ZOV,‘1 M\V, Z1)9 ++0+, )*(V, an—l)' Le produit de ces fonctions est une fonction entière de V dans laquelle les coefficients sont des fonctions sy- métriques des racines z ; donc ce produit, que nous re- présenterons par I[(V), est exprimable rationnellement , par les quantités connues. Les racines de l’équation (V 0 appartiennent toutes à l’équation (3), et, puisque celle-ci est actuellement irréductible, le polynôme IT(V) est di- visible par 1“( V). Soit q l'exposant de la plus haute puis-