Es H / / ! Î 25 644 COURS D’ALGEBRE SUPÉRIEURE. le méme, quelle que soit la racine adjointe. En outre, lCS ]) 53 ’SZèlH(“S conjugués CT S E qui deviennent propres à l’équation quand on adjoint respectivement une racine des groupes successifs, seront semblables entre eux, en sorte que chacun de ces sys- tèmes pourra se déduire du premier, en exécutant une méme substitution dans les cycles qui composent les diverses substitutions de celui-ci. Il est évident que chaque groupe se réduit à une seule racine sim est premicr. Désignons toujours par V la fonction résolvante et par (3) F(V)=o l’équation irréductible de degré v que nous avons nom- mée équation résolvante ; soient aussi 7 V07 Vli "2) R 429 Vv—1 les v racines de l’équation (3). Si, après l’adjonction d’une racine z, de l'équation (»), l'équation (3) reste irréductible, il est clair que G de- meurera le système conjugué propre à l'équation (1). Mais il n’en sera plus ainsi s1 l’équation (3) se réduit ; c’est le cas que nous avons à examiner. Soient \ (V, 39 ) l’un des facteurs irréductibles de F (V) et u le degré de ce facteur ; on peut supposer que, dans le polynôme }, le coefficient de la plus haute puissance de V soit l’unité et que les autres coefficients soient des fonctions entières de la’racine z,. Gela posé, z étant re- gardée comme une indéterminée, effectuons la division des polynômes F(V), A(V, =) et désignons par À (V, =), ©O(V, =) le quotient et le reste de cette division ; on =s