; 1 628 COURS D'ALGEBRE SUPÉRIEURE. U ; on peut disposer de z de manière quel'on aitz—z0+\z,, et l’on voit alors que notre droite pourra être |‘t:prçfi— \ ! sentée par les trois équations suivantes : p E e p pc ds en f s4 As 3) X — Xo + AX1, XN Vo+ , 3 2309 +— AZ,. Au moyen de ces équations, on obtiendra tous les points de la droite en donnant à À toutes les valeurs possibles. Or, d’'après le théorème de Maclaurin démontré au n° 566, cette (]l‘()il(‘(î()lllH‘ la courbe (1) en un troisième point d’inflexion ; pour avoir la valeur de à qui convient à ce troisième.point, il suffit de porter dans l’équation ( !) les valeurs de X, y, 3 lirées des équations (5), et de résoudre ensuite l’équation obtenue ainsi, par rapport à À. Par cette substitution il vient / B / u\ . / du us '«’”> ä ; sm L <;/Ll',) 0 . K\{/)l 0 = <(/:« 0 (6) L ; E lu’ / du‘ / d \ [ — % l.r… <;/Ï> : 147 (\:7/){) 1 + 20 }J 9 =0 les indices o et 1 indiquant que, dans les expressions qui en sont affectées, on doit mettre X05 V 05 30 OÙ X1, V13 T1 à la place de x, y, =. En effet, il résulte immédiatement de la formule de Taylor qu’après la substitution les (‘.L‘UX !H'('Il\i(?l‘5 Lermes (lt‘ u sont ï R ; du’ <> - 4/ _ (du' x a ( 55505 ) 4 500 ), ° et il est évident que les deux derniers termes doivent se déduire de ces deux-ci, en changeant VSN Mi0Se 2051 C43 Ÿ I l ! Vay Z1 EN ÀÂX (, ÂY 15 ÀZ4, = Xo, T Y0,T #0- p À S1i l'on supprime les termes (uw)y et (u), qui sont nuls, l’équation (6), divisée par À, donne la valeur sui-