6').Ô COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. exprimables par des fonctions algébriques explicites des coefficients de l’équation qui représente la courbe don- née ; en outre, la détermination des trois points P qui répondent au même point M dépend seulement d’une équation du troisième degré. Donc l’équation du vingt- septième degré, dont dépend larecherche des 27 pointsP, est toujours résoluble alg('rbri(1u«:mc11t. Proprieté de l'équation du neuvième degré qui a pour racines les abscisses des points d'inflexion d’une courbe du troisième (Ïpgi'é. 9792 3010 {I} 2E l’équation d’une courbe du troisième degré entre les et coordonnées rectilignes ; nous avons vu que les wIi& & [- points d’inflexion de cette courbe sont sur une seconde courbe du troisième degré, ( 2> A =— O, \ Si l’on élimine y entre les équations (1) et (2), on obtient une équation [ 3) -—" homogène par rapport à x et z ct du neuvième degré. ‘ ; . ; x ; Cette équation, dont les racines = représentent les al- scisses des points d’inflexion, est toujours résoluble al- gébriquement, comme nous l’avons démontré plus haut. Mais il existe, entre les racines de l’équation (3), des relations remarquables que nous allons faire connaître,