O14 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. et, en multipliant, on a , ”MA…V__DLMWHAN+“MÀÜ+È\çOAPOM+PO\+? Q1\:\… = 010404 > NA,-NA,,, :NA5a Il est évident qu'on trouvera la même valeur pour’ /MA,\? _ /MA,\? ; ; € kf;f— et ——) en appliquant le même théorème aux NA, NA,, droites issues des points A, et A»; on a donc M.\.,>*__ /MA,\? _ /MA,\3 A 7 (NAK) P \N4\2> Les points considérés étant supposés réels, la précé- dente égalité exige que l’on ait MA, . MA, — MA, nN NA. Z 1 ce qui est évidemment impossible. Cela posé, considérons le faisceau obtenu en joignant un point d'inflexion imaginaire aux autres points; l'une quelconque des quatre droites de ce faisceau coupe la courbe du troisième degré en deux points d’inflexion qui ne peuvent être réels tous les deux, ni imaginaires con- jugués. L’une de ces droites contiendra le point conjugué du sommet du faisceau avec un point réel; chacune des autres contiendra au moins un nouveau point imaginaire, et, comme le nombre des points imaginaires est pair, 1l sera au moins égal à 6. Enfin, la droite qui passe par deux points imaginaires conjugués étant réelle, chaque couple de pareils points exige nécessairement un point d’inflexion réel, d’où 1l résulte qu'il y a toujours trois points d’inflexion réels et six imaginaires. Remanque. — On pourrait faire à ce théorème l’ob- jection que voici. On suppose que chacune des droites qui passent par deux points d’inflexion imaginaires