ce SECTION V. — CHAPITRE IV. 603 présente une courbe qui passe par les points d’intersec- tion des courbes données. En second lieu, soit C l’une quelconque des courbes du troisième degré qui passent par ces neuf points ; prenons sur cette courbe un point quelconque M qui n’appartienne pas aux courbes don- nées et désignons par v,, u, ce que deviennent v et u, pour le point M. Si l’on détermine À par la condition v, +Au, — 0o, la courbe représentée par l’équation v+)z = 0 passera par le point M ; cette courbe ayant ainsi dix points communs avec la courbe Ç, elle coïncide avec elle. La démonstration précédente ne s’applique pas au cas où les lieux des équations #= 0, v=0 aurailent une droite commune ou une conique commune. Mais, dans ce cas, on à p b qu =—n #'= o, u — o représentent des droites ou des coniques, et#’+Au'= o représente toute droite et toute conique qui passe par leurs points d’intersection. Il s’ensuit que ÿ +\u — o représente encore toutes les courbes du troi- sième degré qui passent par les points communs aux proposées. ? 563 L]‘ÏÏ\ÏMÉ I]Ï ès S()i8ïtt l\|, J\2, .ZX3, l\5, j\5, f\g, A;, As, A, les neuf points d'intersection de deux 85 9 = / courbes du troisième degreé données; on peut faire 8 ; F ‘ passer par sept (/1L(3lcon(/ues de ces points une i/lfi…té de lignes du troisième ordre (/ui ne passent par aucun des deux autres points. Considérons les sept points A17 Àîv A:$y A-’n A37 A61 AT Si trois d’entre eux, A,, As, As, par exemple, sont en ligne droite, il existera trois systèmes formés de deux