SECTION V. — CHAPITRE IV. 599 et qu’on en retranche ensuite l’équation que nous ve- nons de former, on obtiendra l’équation finale qui résulte de l’élimination de à et 6; nous la représenterons par (4) au=0o, en posant, pour abréger, «h e E à SE z (9) A — 44 49,9 U3,3 À 2 49,3 U,4 Uy,g — Uy 4 U3,, — Vaya U3 — Ua,s Vi 20 L’équation (4) est celle de la courbe cherchée, la- quelle rencontre la proposée u= o aux points d’inflexion. Cette équation est, comme on voit, du degré 3(n —2), d’où il suit qu’une courbe du n'êve degré a généralement 3n(n—0) points d'inflexion. En particulier, une courbe du troisième degré a neuf points d’inflexion. La fonction Au est égale au déterminant U,s U1,2 U1,3 et Ilesse lui a donné le nom de déterminant de la fonc- tion u. 559. Lorsque les coeflcients de la fonction u sont in- déterminés, la courbe représentée par l’équation u = 0 n’a pas de points multiples. Pour de tels points on a simultanément du du — —0 m SO u== O dy" , ([ÿ)_ , , et, au moyen des deux premières équations, la troisième se réduit à du e S D dz # par le théorème des fonctions homogènes. La relation entre les coefficients de u, exigée par l’existence de