596 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. fectivement s’écrire ainsi (Us ; \ ,U d’U d’U U=«——°) 2 d cQXY +y =0, m(n—1 da? dxdy dy? dU F; d’U d’U dé R- X. d’U dat * À cause de la troisième équation, la deuxième se réduit à d’U d'U — o, et la première devient ensuite 75 =. Donc ‘ dædy les équations de condition relatives à l’égalité de trois racines de l’équation U— o sont les suivantes du degré n — 2 chacune : d’U d’U d’U Z —0s 72Pn =— 0,; d =0 On ferait voir de même que généralement les équations de condition relatives à l’égalité de n racines de l’équa- tion U— o sont les suivantes, du degré n—m+1; dr—y dn d”—y do-y damsr 0» ;Ï.fi’l2dy=o’ e dedyr T» W=0. (*) Cela résulte immédiatement du théorème connu dit des fonctions homogènes. Soit f (x, , .- ) mne fonction homogène du degré 4# de plu- sieurs variables; en multipliant , y,... par 1+a, il vient, d’après la définition des fonctions homogènes, f(æt+ax,y+Hay,.0)=(a+a)"f(æ,y,.….). Développant les deux membres par rapport à œ et égalant ensuite les coefficients des mêèmes puissances de «, il vient l df 2L 4 y T4= pflarse) df Œ 2ÜF = — ' mt m q e M— DSCE , es