SECTION V. — CHAPITRE III. 5ga entier E, et l’on aura 2 Hs rn (Gud'-céee q Il s’ensuit que le carré deEAr“ est une fonction symé- ; K > e ; xP —1 trique et entière des racines de l’écuation —— =0o: el } par suite, ce carré a pour valeur un nombre entier, ce qui exige que E soit un multiple Mg de 4. Ainsi l’on à . EAra —— =E= M q P q7 M étant un nombre entier. Par conséquent, sp e p 2 (— [ 2718110 —> =— Mg; p 150 — un multiple de q, d et supprimant de part et d’autre les multiples de g, il vient p=stda=i [ p \+r 32 =. — <(I). 2 — —I 3 @ ( ) PJ cette formule (2) exprime précisément le théorème «le Legendre. S.— Alg. sup., I. 38