SECTION V. — CHAPITRE IIT- 5o1 la congruence p—l 2 æ ? —1=0 (mod.p), dont les racines sont A es ts e OS on a donc nécessairement q=a" (mod. p), ])-—I n étant un entier au plus égal à - Par suite, la va- leur de Q est 25 RS 2n+4 an+2 an+p—8 an+p—a Q= 74>14 SE pae E T REN E E e et, en rabaissant les exposants-de à au-dessous de p —1, on a évidemment 0=P 2° Soit KE> — — 1. Dans ce cas, q est racine de la q congruence x ? +1=0 (mod. p), As B EA N e e OEN On a donc q an (mod;p}; n étant un entier. Il vient alors , qUN+A » QN+2 aan+3 , .aîn+p—2 q ps Q=” —7 +7r —...—+7 —7 ; et, en rabaissant les exposants de à au-dessous de p —1, U à Q=—P.