R SECTION V. — CHAPITRE III. 589 el posons p=2n+1, de telle sorte que En désignant, en général, par v;(æ) le polynôme en æ, défini par l’équation F(«)F(a') = 4;(«)F(a+4), on aura la série de relations F(«)F(«) = 41 («)F(a), F(a)F(a2)=”—!*2(“)F(U‘B)’ ...s %. 680e 08065889 F(a)P(at=t) =4n («)F(a?), qui, multipliées membre à membre, conduisent au ré- sultat suivant : F(a)? =4 («)Vo(a) ... Ys («)F(a®). / Or, ayant a”" =— 1, il est facile d’évaluer le facteur F (a”). Ce facteur se réduit, en effet, à la différence des q uantités y2 et y,, que nous avons déterminées au n° 548 ; mais on peut aussi le déduire de la relation générale P— F(a)F{or)=a2 p / que nous avons précédemment démontrée, en y faisant æ — — 1, Ce qui est permis, puisqu'on satisfait ainsi à l’équation a/-! = 1. De la sorte on trouve p=4 QE E 2 —L 2 F{(—1)7=(—1)" P. Ainsi la puissance p—1 de la fonction résolvante se trouve exprimée par un produit de facteurs complexes 4(a), multipliés par le nombre p.