E 588 COURS D'ALGEBRE SUPÉRIEURE. rente aux n°° 294 et 332, se trouve ici démontrée de telle manière que l’on fait dépendre a et b des entiers uety, rapprochement bien inattendu, et dont Jacobi a tiré cette conséquence que nous nous bornons à indiquer. Le nombre a étant supposé impair dans l’équation p=—a?+b?, sa valeur peut, au signe près, se déterminer par le résidu minimum de l’expression 1 2n(2n—1)(2n——2)...(n—l—l) 2 On (mod. p), aù l’on suppose =(n Soit encore p=1 (mod. 3), on satisfera à l’équation pérsa ns en prenant —1+y—3 2, = =P, racine cubique imaginaire de l’unité. Alors les nombres Ÿ («)et(a7!), sommes de puissances entières de o, de- viendront respectivement a+bp, a+bp, a et b étant des entiers. Donc p sera de la forme (a — bp)(a +— ()fi) =— à* — ab + b?, 554. Voici maintenant d’autres conséquences pour la résolution de l’équation binôme u—# Soit « une racçine primitive de l’équation whcss s— r