582 COURS D’AIGÈBRE SUPÉRIEURE. admet toutefois les trois solutions v T —I x—=zw42 Ln Y=x—l; Z:.r—{-—]; mais les polynômes Y et Z, relatifs à l’une quelconque de ces troissolutions, nesatisfont pas à toutes les conditions indiquées dans l’énoncé du théorème. Enfin le résultat que nous venons de trouver relative- ; ä aP—1 ; ; ment à la fonction n peut s’étendre à la fonction , .r[' —igyp , = c plus gunumlc ——> q11’0n déduit de la première en D x —y e p .. . . — chaageant x en —» et en multipliant ensuite par ) Passts y ë On peut évidemment, d’après cela, énoncer le théo- ] ; [ rème Slli\'ûl]L : Le nombre p étant premier, on peut satisfaire à l'équation PE RSn 'Ï*"2_(_I\ 2 I)Z2: 4 I x—y en prenant pour Ÿ et Z des fonctions entières de x et y. ‘ Sur quelques propriétés de la fonction résolvante ; P ; aP—T1 - qui se rapporte à l’équation —— = 0. > K00 e 5£)1. b(ïlt. comme !)l‘(‘(,‘(,‘(]Cl]llll('llΑ x une lill(‘](‘(\ll(]ll() Ë S ; aP—T ; E lCS racines (l(Ï l U(lllilllflll — — O, et a une racine l)l'l- æ —I mitive pour le nombre PI‘(‘l]li(‘l‘/?. En désignant par x une aP—-1—1 racine s1:lclcun(1uc de l’équation — o0, nous po- æ --1