SECTION V. — CHAPITRE III. 979 dans ce cas, AyAn — m# RE 10 S1 p= 4i +3, les suites 3 P—2 p a e » V y+0ey 7 ? 2 4 v aP-4 VSN e , , , I se changent l’une en l’autre quand on change r en —; e T E d’ailleurs Æ et À sont de parités différentes ; donc l’équa- tion An == Mn + RR Y1 entraîne T Ag = Mj 4 Nn Y4 — Mn — Mn (1+91), et l’on a, dans ce cas, Ap= (n —m;)+ Nn yre Il résulte de là que le polynôme X, peut se mettre sous la forme suivante : X1 eh + Q.7h P et Q étant des polynômes à coefficients entiers qui ont ; ; Pp—1 p3 — respectivement pour dcgres —— et — En outre, 2 2 Q est un polynôme divisible par x dans lequel les termes également distants des extrêmes sont égaux et de même signe; le polynômeP jouit de cette dernière propriété dans le cas de p — 4i + 1 seulement, et, par suite, il en est de même de la fonction 2P— Q. Dans le cas de p=4i+3, la fonction 2P — Q a cette propriété, que les coefficients des termes également distants des extrêmes sont égaux et p—t ; . z e E— k de signes contraires. En effet, les coefficients de x * et de x* dans la fonction 2 P — Q sont alors 2mp — 4 CL 75 — 2Mj