SECTION V. — CHAPITRE IH. 597 signe la somme. Soit ; p—1 p—1 ; Résbars es X,=æet —n a' HAé HH Ay e N HRS cette équation. Les coefficients A, ÂA3, .. peuvent s'exprimer par des fonctions rationnelles de y,, et l’on peut supposer ces fonctions linéaires (n°182), puisque yy est racine d’une équation du deuxième degré. Ainsi le coefficient A, aura la forme Ak= mn TR Y1, my et n, étant des nombres rationnels, et il est facile de prouver que ces nombres sont entiers. En effet, A, est, ; , T ; —I au signe près, la somme des produits æ à À des E e 2 ; 2 4 ‘ E cines 7®, r#, ...; chacun de ces produits est une puis- sance de 7, et, par suite, il se réduit à l’unité ou à l’une des racines de l’équation (1). On a donc 2 —2 A,= u4H 475 + mrt+ uT Æe H 054 e %o, %, … étant des nombres entiers. Cette valeur de An . » 5 » 2 e . ne changera pas si l’on change 7 en r et, par suite, on aura à 3 4 5 A,= 0 H 417 H d 74 œr L r , s0 RI Je dis que les coefficients des mêmes puissances de 7 sont égaux dans ces deux valeurs de A,. Supposons, en effet, que cela n'’ait pas lieu; si l’on égale les deux valeurs de A, et qu'on rabaisse les exposants de Æ au-dessous de B, en faisant usage de l’équation ”” = 1, on aura une équa- tion du degré p— 1 en r qui sera évidemment satisfaite par ”— 1; on pourra enlever cette racine r. ek alors on voit que 7 sera une racine d’une équation du degré p—a S. — Alg. sup., . 37