SECTION V, — CHAPITRE III. 5"'5 4 ‘ Or on a 2 4 ap—1\2 2m, 2n (aat t uS Ex“ p le signe E s’étendant ici à toutes les valeurs 1, 2, 3,., Ds . t Ls L* des entiers met n; si donc on désigne par S (u) la somme des puissances p'ê"es des racines de l’équation (1) P ! q J3 on aura I | &Î +yî = >‘S(a2m+aînh DScx " le signe E s’étend à toutes les valeurs 1, 2, 3 ,, ns 4 2 des entiers m et n, et 1l embrasse, en conséquence, —1\? ë e <£———> termes. Comme aest une racine primitive de P» 2 on a p dn 0 (mod. p), et il ne saurait y avoir aucune puissance de « d’un degré p—1 2 inférieur à congrue à — 1 suivant le module p. D’après cela, si p est de la forme 4i + 1, la somme 9 a’m _ (l? n st 2 suivants de valeurs simultanées de m et n : ne sera divisible par p que pour les 2i= systèmes 1e= 1 2; 3 r D DO d d n=itI, tHors 31791N 2, n t petees si p est de la forme 4i +3, aucune des valeurs que prend la somme a2m +a2n n’est divisible par p.