564 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. Cela posé, supposons d’abord que m ne soit pas nul, 2 COsd’ et 2cosa" sont des racines de l’équation (2); donc 20C08S0‘— x et 2c0sa”" — Gêx, et l’on a, en conséquence, tn == (Ox 4H OH UI 4 6 xN D4 40 42) se (0=.r d P e Os O’——‘æ), ou tæ=z(æ+9æ—{—9”.æ:—}—...—l— d ) d’où 1l résulte que t est double de la somme des racines de l’équation (2), laquelle est égale à — 1: on à donc q ? { © , n — 2. Supposons maintenant m = 0, ON aura =2(c0820 + cos2 na + cos2n*a +….—+ cos2 n a) + 2 A Or 2 cos2a est racine de l’équation (2); donc, en faisant 2 C0S2A = Ox, on aura t0=(68æ+ à m H H08 Hx H+02 +0+ O'Ÿ—’.r) +a2p; et, par conséquent, H— 2U—T D'après cela, la valeur de # p sera c6 = 2y.—1—2(a+ s,, .—!—a.“""‘). D’ailleurs @ gut grt — — 1, donc 27 SR p=2p #T Ce qu’il fallait démontrer.