SECTION V. — CHAPITRE III. 561 l’équation (2); il suffit donc de démontrer qu’elles sont toutes distinctes. Supposons, s’il est possible, que deux de ces quantités soient égales, et que l’on ait 2 cosnPa — 2 cosn!a, p et q étant < p ; on aura nmatnia=2, p ; ; 27 À désignant un nombre entier. Mais a — — ?" —> donc O 2 nYU(nE E I) 28 +1 est un nombre entier; d’ailleurs 2p + 1 est un nombre x premier, et r est inférieur à 2 +1; il s’ensuit que 2p.+ 1 divise l’un des deux nombres n?-1+ 1 ou nP=4 —+ ; par conséquent il divise le produit nè2p—21 — 1 de ces deux nombres ; or cela est impossible, car 2p — 29 est <2y, etn désigne une racine primitive de 2u + 1. Donc les quantités (3) sont bien toutes les racines de l’équation (2). S1 maintenant on fait x—2c0sa, 0x—2cCosna, on aura f?x—2cosnta, 88x=— 2 cosmta, 11 061x =— 9 cosn#—{a, ; » Z , , ‘ et les racines de l’équation (2) seront représentées par T0 OO e 1 O P on a, en outre, 0*x = x ; car, n étant une racine primitive de 24 +1, On a n*=—1 (mod. 24 +1); enfin Ox est une fonction rationnelle de x, car cosna est exprimable = — Als. sup., il, ; 36 rl ‘ i Ÿ "