560 COURS DQ\LGIËBRE SUPÉRIEURE. Nous venons de rappeler que, si m ou 2u + 1 est un nombre composé, la résolution de l’équation (1) se ra- mène à la résolution d’autres équations de la même forme, et qui ont pour degrés respectifs les nombres premiers ou les puissances de nombres premiers qui divisent m Dès lors, la même chose peut se dire de l’équation (3) et l’on peut se ])01‘…‘_1‘ à considérer le cas où m — 2U +1 est un nombre premier ou une puissance d’un nombre premier. Lorsque 7 est premier, la division de la circon- férence en m parties égales exige seulement la résolution de plusieurs équations qui ont respectivement pour de- grés les facteurs premiers égaux ou inégaux dans lesquels se décompose le nombre m—1. Mais, lorsquu m est une puissance pi d’un nombre premier p, la division de là cir- conférence en m parties égales exige d’abord la division en p parties égales, et, en outre, la résolution de ; — ; équations de degré p. Chacune de ces — y équations de degré p est résoluble algéln‘iquorm‘nt; cela résulte soit de la formule de Moivre, soit des considérations déve- loppées dans la Section F Il faut d’ailleurs remarquer que, quel que soit u, l’équation (2) appartient à la classe des équations dont NOUSs nous sommes occupés au n° 541. Car si l’on fait #—2c0sa, 0x— 2 osia, 0,x — 2 cosja, on a évidemment 00,æ — 0,0x — 3 cos ÿja. 544. Supposons 24-+ 1 premier, et soit n une racine primitive pour ce nombre premier; jJe dis que les u ra- cines de l’équation (2) seront 3 2C0S@, 2 COSNE, 2-cosnèa, ; . 9 cosnF1a, , , , , Il est évident que chacune de ces u quantités satisfait à