558 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURF. les m — 1 racines dont il s’agit seront représentées par DO RU Qe 45 0R E et l’on aura gmst r — * C’est sur cette propriété que Gauss a fondé sa méthode pour la résolution de l’équation (3), méthode qu’Abel a généralisée ensuite comme nous l’avons expliqué. On peut appliquer à l’équation (2) la méthode du 0290 A l‘ e 1TQn l7r\ nressi ]n raCi ;. savoir: Nn° vo0-, CL1I ON à aIins1 (Xl)lLbthll des racimnes, savoir : an-=1 }7 m4 ms —A+ vor+ Vs ds MO E e s—— s=— —. m-—1 dans laquelle v;, V2, . . ., Pm_9 Ne contiennent d’autres irrationnelles que les racines de l’équation u'ibw—q, Mais, comme m—1 est unnombre composé, onobtiendra une solution plus simple en faisant usage des méthodes exposées aux n°° 535 et 537. Enfin, comme l’équation (3) appartient à la classe des équations réciproques, on peut commencer par lui ap- pliquer la méthode d’abaissement qui se rapporte à ces ; ; ; , ; sML 2 équations; on obtient alors une équation du degré — > dont toutes les racines sont réelles et qui conserve le caractère d’équation abélienne : c’est ce que nous allons dévclopper présentement. liésolution algébrique des équations dont depend la 5 ] 7 / division de la circonférence du cercle en un nombre premier de parties égales. s1 he problème de la division du cercle en un nombre m quvlcnnqu«: de partes égales se ramène à la