SECTION V. — CHAPITRE IL. 557 qui est irréductible, ainsi que nous l’avons établi au n° 110. L’équation (3) appartient à la classe des équations que nous avons nommées abéliennes, et ses racines peuvent, en conséquence, s’exprimer par des fonctions algébriques dans lesquelles les radicaux ont pour indices les facteurs premiers de m—1. Effectivement, si » est une racine de l’équation (3), cette’ équation aura pour racines 2 PR P TS RE SO QNU E E on a d’ailleurs p M — L ; et, si l’on désigne par a une racine primitive pour le nombre premier n, les puissances aO’ a1’ a2, (13, aire an—2 seront respectivement congrues, suivant le module m, et ‘abstraction faite de l’ordre, aux nombres D2 S q 1E donc les racines de l’équation (3) peuvent être repré- sentées par (4) r r… 1T rN r en sorte que chacune d’elles s’obtient en élevant la précé- dente à la puissance a; et la même chose à lieu encore, à cause de an\=1 (mod.m), si l'on range en cercle ces m racines et que l’on considère successivement chacune d’elles comme étant la première. D'après cela, si x désigne l’une quelconque des ra- cines (4), et que l’on fasse x 008