O 56 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURF. On pourra donc, en continuant d’appliquer le même procédé, ramener la résolution de l‘équ::(inn proposée à celle de plusieurs équations qui seront toutes résolubles algébriquement, et dont les degrés auront pour produit le degré u de l’équation (2). CoroLLAIRE. — 157 l’(*'(//[{l/i(})ï f(x)=0oa la proprièté contenue dans l’énoncé du thévrème precedent, et que, son dcgl'c' u étant (I(ÂL‘UM/)0&@' en facteurs premiers, on aut la résolution de f(x)=0o peut être ramence à celle de p, équations du degré c,, de P2 équations du degré Eniarees de Ps équations du (Ï(f(_f;l'(f' Eay €l toutes ces équa- tions, dont les coefjicientssont rationnels, sont résolubles a[g:ä]n‘iquenmnt. e Nésolution (l/(:;‘{//}/':}/11(% des equations binômes. æ 549. L‘équalion binôme (1) 3* — A —0 se réduit à (2) a—1=—0, sil’on posez—xwWA,etnous avons vu dansle Chnpilro V de la Section 1 que la recherche des racines de l’équa- tion (2), dans le cas où m est un nombre composé, se ra- mène à la résolution J('tqll{lli…]s binômes de degrés pre- miers. Supposons donc que l"vxposnnl m soit un nombre pre- mier: l’équation (2) admet la racine I, CL, en supprimant cette racine, on obtient l’équation (3) an—1 = æm—2+ M—3 t ut .I.‘2+ æ+1= o,