0 cs , @ SECTION V. — CHAPITRE III. 555 il en résulte 0/0;x — 01—10;0x — 0I—20,08x = ... 0;01x, et, en conséquence, on peut écrire, p 2 n—\ N =3(0;æ; 0,02; 0101x S ue OIN æ)s ce qui montre que ; est une fonction rationnelle et symé- trique des racihes ns0T 0304 e 0 e On peut conclure de là (n° 531 ) que y1, Vas << <» Ym-t sont exprimables en fonction rationnelle de y. Soient maintenant Ày et À, y deux racines quelconques de l’équation (4) autres que y, on pourra poser y=F(eæ), (6) Ày =F(0;æ), My =F(0;æ), et il en résultera * X F(æ)=F(0;æ), ).1F(.7:) :F{9j.z‘). Or, x étant racine d’une équation irréductible, les équa- tions précédentes subsisteront si l’on remplace x par 0jx dans la première, et par 0;œ dans la seconde; on aura donc \ F(Ôj-m) == F“L0i9jæ)v MF(0;x) — F(0,0;x), d’où \F(0,æ) = MF(0;æ), puisque 0;0j;x = 0;0;x. Les équations (6) permettent de donner à la formule précédente la forme N = Ms d’où il suit que l’équation (4) a bien la même propriété que l’équation (1).