/ - 554 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. avait lieu, y serait racine d’une équation irréductible (K\ v 5) e — 0, 1« ] Ws fCe xoÏs \ 91* . * d'un degré m' inférieur à m, et l’élimination de y entre les équations (3) et (5) conduirait à une équation v{(x)=o < , \ de degré m'n< u; ce qui est impossible, car l’équa- tion (2) du degré u est, par hypothèse, irréductible, Cela posé, la résolution de l’équation (2) est ramenée à celle des équations (3) et (4) ; nous savons que l’équea- 194 é L tion (3) est résoluble, et nousaallons (l(‘m<)nlr«‘rquv équa- tion (4) possède la même propriété que l’équation ( 2). La quantité y est une fonction rationnelle et symé- 1riqlm qu<}]('0an(: des racines w0x 0°11x " etsi l'on désigne par Js Ngy e ... Vm—i e = les rn racines de l’équation (4), on pourra poser ] (4 ] [ y =— Jha 070 x%; v 071x), N =— {L,, Û.I‘l‘ Û'")vl‘l‘ TS O"‘“l,rl Ç Z 00 n—l y ) Ym—1 — J m1s 0'rm—ls pN etE e 100 ô Tmn—i)» » désignant une fonction symétrique et rationnelle. D’ail- leurs X1, X2, < - -, Xm_y SONt, par hypothèse, des fonc- tions rationnelles de la racine x: si donc on fait - 0 D e e e T A m= on aura, pour les valeurs 1, 2, ..., m— 1 de l’indice j, vc UOU D OEOE es (O TT 0;x). Enfin, d’après l’énoncé du théorème, les fonctions / et 6; sont telles, que l’on a