546 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. dernière équation n’est autre que l’équation (6), et l’on voit, en conséquence, que ll"«1|l;ili0lu proposée (1 doit résulter de l’élimination de y entre les deux équations (6) et (7); la seconde équation peut être considérée comme ayant pour premier membre un polynôme irréductible quelconque de degré n. in d'autres termes, les équations que nous étudions peuvent être obtenues en multipliant un certain nombre 7 d’équations de la forme xz + 0x + Px +.2+H Ox — y =Oo, x+02+0x+...+0WU7 —H Il 2 x+—0x2+0x+H.26+H+ 0X — Y3 =0, x+0x+02x2—+...+08 X —Yp4=0, OÙ V, Yt> V23 +++; Yn_1 désignent les n racines d’une équation irréductible dont les coefficients sont des quan- tités entièrement arbitraires. Il est évident qu’à l’équation (6)on peut substituer la suivante : C0X OK R y Des équations irreductibles à coefficients llIllll(Û’Ï(/![(?s dont /)lu.î[(’lll'.\‘ racines se (/(5\*()/«)/)/}(>nl en des fractions continues terminées par les mêmes quotients. 539. Nous avons fait connaître au n° 26 la forme des équations du deuxième degré dont les racines se déve- lo…wnl en des fractions continues terminées par les mêmes (‘unli(‘nls. et nous avons résolu ensuite (n° 512) la même question à l’égard des équations du troisième degré. Les considérations que nous avons développées