540 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. mence à celle de deux équations des degrés m et n I'erectiuemezzt, e (/ui ont la méme pl‘opz‘iél@' que la proposée. Si 7 est lui-même un nombre composé my n,, on ra- mènera, de la même manière, la résolution de l’équa- tion (5) à celle d’une équation en z (7) H(3,3y)=0 de degré ,, et à celle d’une équation en x de degré n, (8) , (æ, y, z) —0 Dans l’équation (7), y fait partie des quantités con- nues, et dans l’équation (8) il en est de même de yet de z, et, généralement, on a ce théorème : Tuéorème. — Si p = m, Ms s.. Mp, la résolution de l‘(*'qzmti0}2 (1) peut être ramenée à celle de n é(/u(lli0!l.î des (Ï@gl'@'S M,, Mos +..,; Mn respectivement, et il suffit méme de connaître une ra- cine de chacune de ces équations, lesquelles ont toutes la même proprièté que l'équation proposée. Cororzarre I. — Si, en (1'c'cornposazzt # en facteurs premiers, on a p ;lo)’ ° — ePa gPa = _£ el la résolution de l'équation proposée de degré u. se ra- menera à celle de P1 équations du degré c,, de ps equa- tions du degré c,, ..…, de P. équations du degré € ConorLaire II. — Zoute equation de degre 2P, dont les racines peuvent être rcprc'se;zlëcs par 9 p 00 e t , peut étre résolue à l’aide de p extractions de racines carrées.