536 COURS D’ALGÈBRE SUPÉRIEURE. cette forme très-remarquable : — = k7 ps < k —A—}—ch (C()s(”_+—#r +\/_1 S…Q_)+_2_fl-> F B w u e 2( ÂT 19 0= 5 kx), —+—(f—i—g\/—1) [cos . ) +y—1sin , rr p ) T PE 3‘Çw+?.‘î +<Â+Ê1V—I)\/a[cos3(b+ >—+—\/ Isin )] F # mN ( 2ÎT — ; (o + 24%) +(A + 82 W5T) [C()SW_+°_Ü+\/__IS…Ê)__J] k # ) +"""""°--Oo-.-.n-.-o.-.n..ln..----.-.--...-..(7 où a, f, & fi» G1) -.. sont des fonctions rationnelles 2T ï 2% de cos — et de sin —. H. u La formule précédente fera connaître les u racines de f(xæ)=0, si l’on donne au nombre entier Æ les y va- leurs o, 1, 2, 3, ..., p — 1. De là résulte le théorème suivant : Tuéorème. — Pour résoudre l'équation proposée f(æ) = o, il suffit : 19 De diviser la circonference entière du cercle en u parties égales; 2° de diviser ensuite un angle w qu’on peut construire en u parties égales; 3° d’extraire la racine carrée d’une seule quantite a,. Remanque. — Les coefficients de f et de 0 étant tous réels, si une racine de f(x)=0 est réelle, toutes les autres le sont aussi, puisque, si x désigne cette racine réelle, les autres racines sont 2 p—1 0x, 0°x, 2204 OF par conséquent, les racines de l'équation proposée sont toutes réelles, ou toutes imaginaires.