vor SECTION V. — CHAPITRE III. 535 sont des quantités connues imaginaires et conjuguces- On pourra donc poser s es p, () / 2E PS . ( #,— == p\cose — \/-—X 8mœ). Nous avons aussi, en général, p/7 \pen w —- (\/"1) V/"n— Uny et, pour n=yu—1, (2) V"Î Ï/‘:; =— dy—te a,_, est exprimable rationnellement par les coefficients de f et de 0 : elle ne peut donc renfermer d’autres ima- ginaires que celle qui se trouve dans œ. Mais 1l est évi- dent que à,, ne change pas si l’on remplace æ par gérs qui est sa conjuguée ; donc a,, est réelle. Des équations (1) et (2) on déduit q pn et, en désignant par a la valeur numérique de a, _ La première des équations (1) donne alors cette valeur de Ïvî, RJ < &)+2‘TE‘ 202e &)+2À‘TC> \('1=\/ä COS—————-————+—\/—ISIH-————— ) p F où k désigne un nombre entier, et l’expression des ra- cines x, donnée par l’équation (8) du n° 533, prend