SECTION V. — CHAPITRE III. 531 on aura æ + ûx + a%02x 4221 + PE 06 e — Ÿo, v étant une quantité connue. Et si l’on désigne par I, , %9y ++09 Ku—1 les y racines de l’équation ak=—1, par 9P05 P15 Pa9 <0 05 Pu1 les valeurs correspondantes de v, on aura m+9.r+92x—l—..............+ÛÏ*_1-T.‘=Ÿ/V—O-, .r—\—aflx+aî0‘£m—{—..…...+w1“1 9”_11‘=Ï/"—1; (5) | .r+a29.r+aî02.lt+..... ..—i—a*2”_1 9‘*_1‘1‘=Î@, ". . .....…....... . ...0............e.s#2s.we9 ; 2 2 p—1 qu—1 7 — * æ + d 1 0% + a.P_19 x+...+aH_10 eN 1 e ME . y* , , La quantité Vv, est immédiatement donnée par l’équa- tion (1); car, si l’on désigne par A le coefficient de x** dans cette équation, on a Vo,==—A. En ajoutant les équations (5), et ayant égard aux pro- priétés connues des racines œ, 1l vient — A +Vo, + Vo, +..-+Vop s. ? (6) == ; et l’on aura généralement la valeur d'une racine quel-