530 COURS D‘ALGÏ'ÎBHË SUPÉRIEURE. Désignons par æ une racine quelconque de l’équation u== T, et posons, avec Lagrange (n° 520), (4) b(æ) = (e Ha0x + 0032 +.02+ aésterSa)rs je dis que la fonction V(x) est expri…abic rationnelle- { ment par les quantités connues de f(x)et de 6(x). En effet, remplaçons x par 9" x dans l’équation (4), on aura p—1 9m+;*ÿ1_r\—x 7';;Ç0”’11 — (0ma 4 a0M+1a + 0201422 HH A 165 J \ et, en ayant égard aux (*tpmlions (9) et (3), b (07% à:) On + a0TH e HH EM X H 0Ù m0x +..+ aï‘*'9”""1x)“ — 11L—Ïl1'r > as- m+l 0x E n g_‘_/.——l Û'”*1.T 2s Onx e (/.'*"’””‘6""‘1‘)£‘ — (et-—7)# (x + cdx # 02085412 0P71 087x ) Fs ou enfin, à cause de “* — 1, ! (Om 8 ) Ÿ Vx =— X} Donnant à m les valeurs successives O, I, 2, <, [4—T}3 on a . (A#—1 \ e n et, par conséquent, 17 I ; (a) = Ÿ ph{a) + d(02) +.+ p(06+a)]s d’où il suit que V(x) est une fonction rationnelle et symétrique de toutes les racines de l’équation (1); elle ra donc être 0\‘})1‘i|11(:0 rationnellement par les coef- pour ficients de cette équation. Posons alors ‘1° L.Z‘) DE