526 COURS D'ALGEBRE SUPÉRIEURE le signe ÿ s’étendant à toutes les racines de l'équation (r). commeid On voit par là que t est une fonction symétrique el rationnelle des racines de l’équation (1), qui pourra, par conséquent, s’exprimer rationnellement en fonction des quantités connues. Cela posé, en prenant pour À les valeurs o, 1, 2, 3, …. (m—1), l’équation (11) donnera les suivantes : / e \ v(a,) + b(23) +.-.-+V(Z7) =b, r b{ ) bx ps _ 31Ÿ\'rl/+.)2Y\1“2,‘+-"+.)121Y Im) = , \ 2 [ \ 2 / \ É / (I2) (I Ym ) HJ3 V (00) HH Ÿ (@m ) = ts " ...."......<...e..»+s..........# ,m—i ,! \ m—1i t » 631 m—4 ! [ 2E PM e f/\"2,'+"‘+«)m Y(@m ) — Em—s» dont les seconds membres peuvent être considérés comme connus. Pour avoir la valeur de V(x;), ajoutons les équa- tions (12), après les avoir respectivement multipliées par les indéterminées Rn 85 et faisons, pour abréger, '\15 U\)‘) =:V…—1 = R/}1*2.}/‘m—2 srseeut P‘1_Y + R0, { on aura Ÿ(.)Â) 'L;Ï.l‘1\ =3 ?(12\ 1"(r2\ ree sf ?‘ m j’“ Î"‘m) == t0 lj\0 7 zl R1 dc tm—2 Rm—‘2 A tm—13 et, si l’on détermine les facteurs R, l\,, ... par les conditions m0 ols 0015 PUN #= O, on aura uRH B1 410 H C cs + ms (14) v(a) = p\Y1)