SECTION V. — CHAPITRE III. 1Q algébriquement; cela arrive en particulier si son degré est un nombre premier. Nous allons exposer ici ces recherches d’Abel, et nous ferons ensuite l’application de sa méthode aux équations dont dépend la division du cercle en un nombre premier de parties égales. 530. Soit (1) #(#) =0 une équation irréductible de degré u, et supposons que deux racines x’et x, soient liées entre elles par l’équation , @ - 07i; où 9x désigne une fonction rationnelle de x et des quan- tités connues. x étant racine de l’équation (1), on aura f(0æ,)=0; d’où il suit que x; est racine de l’équation (2) #(0=)= 0 et, par conséquent, cette équation (9) admet toutes les racines de l’équation (1) (n° 100), car celle-ci est irre- ductible, et /(0x) est une fonction rationnelle. En d’au- tres termes, st x désigne une racine quelconque de l’é- quation (1), Ox sera aussi racine de cette équation. Mais Oxy est racine de l’équation (1); donc 69x, le sera aussi, ainsi que 009xy, et généralement, en répétant sur x, un nombre quelconque de fois l’opération désignée par 0, on obtiendra toujours une racine de l’équation (1). Soit, pour abréger, 60æ, — 0121400104 = 0554 0080 = OD 1S 00s tous les termes de la série (3) 0131015 0C dq se IO E e t