S SECTION V. — CHAPITRE 1I, 309 à toutes ses racines communes avec (R >N S 0 (5) 37*—p=0; d'ailleurs son degré / est au moins égal à 9, car, autre- 1 ment, on pourrait exprimer z ou p" en fonction ration- nelle de , 40> ÿ2, » - +» Gn-i- Si donc z désigne une racine quelconque de l’équation (4), cette équation aura au moins une autre racine de la forme az, æ étant une ra- cine de l’équation l’équation (4) aura donc une racine commune avec (6) LH hazs+t02+...+hdzo, et, par conséquent, avec l’équation (7)* (r—a t-+—'a-——a£)t 3+ +( IN R( a+(e—a)tz3+...+(a t so, que l’on obtient en retranchant de l’équation (6) l’équa- tion (4) multipliée par œë. Mais l’équation (4) est sup- posée irréductible; il est donc impossible qu’elle ait une racine commune avec l’équation (7), qui est d’un degré inférieur au sien : d’où il suit qu'on a nécessairement n=—0, n=0, ct 171 —— OÙ Les équations précédentes ayant lieu, l’expression (2) de x satisfera encore à la proposée (1), quand on y aura 1 substitué à p" chacune des n valeurs 1 1 1 1 P”ç al)n7 6])n7 PS &)]);, * p , _ . ..x S S où 1, %, 6, ..., ® désignent les racines nièmes de l’unité. On aura ainsi n racines de l’équation (1), que nous re- présenterons par d1y X23 + +2 Xm