SECTION V. — CHAPITRE N. 5oi p” sera la forme des fonctions algébriques, où l’opéra- ; e e m Ë E lion désignée par V ne porte que sur des fonctions ra- tionnelles et sur des fonctions des deux premiers ordres. Les fonctions de la forme ”” seront les fonctions algé- briques du troisième ordre. En continuant ainsi, on formera des fonctions algé- briques du quatrième, cinquième, .. , p!°"e ordre, et il est évident que l’expression générale des fonctions du pième ordre sera l’expression générale des fonctions algé- briques. ; Hl suit de là qu'en désignant par v une fonction alvé- brique du uiè"e ordre, v aura la forme n, NaiTte U=f(l], es 0 5lhers VP1s ‘//)2, è .), où f désigne toujours une fonction rationnelle, p1, P2; … des fonctions de l’ordre #—1, ,, n», ... des nombres premiers, et 74, 7», ... des fonctions de l’ordre pl ou d’un ordre moins élevé. On peut évidemment supposer qu’aucun des radicaux Ma e 2 . . . VP1; VP2, --« ne soit exprimable rationnellement en fonction des autres radicaux et des quantités /y, l'a, <. ue ME RE A e S1, en effet, Vp, était dans ce cas, en portant sa valeur dans l’expression de , on aurait une valeur de v V=j‘(2'l, RRn Es "Ï/})î, E de la même forme que la précédente, mais plus simple, lpuisqu’elle contiendrait le radical ”\‘}î de moins. Si, de même, l’un des radicaux qui restent pouvait s’exprimer en fonction rationnelle des autres radieaux et des quan- tités F V 00 pourrait chasser ce radical de l’ex- pression de y, qui conserverait d’ailleurs la même forme ; et si l'on pouvait continuer ainsi jusqu’à ce qu’on eût