492 COURS D'ALGÈBRE SUPÉRIEURE. et œ une racine de x” — 1, mais qui appartienne aussi à l'équation x? = 1. Alors, comme on a généralement (,_n+/x ::U./‘, la valeur précédente de # pourra s’écrire comme il suit : L e t Xn nF “L Y1 = En+1 7 Ton+s H- "Ï/»——N»z+lJ RR SSA TS CT0 S OVS n 191000 00P16 02010 010 210 A 410 0.0 …. n—1 ; ï R S Æpn—1|» ou t— X, +aeX, +0°X, +.,.+a"!X, 15 en faisant, pour abréger, ‘ X'Ç‘ =— %9 se Xn SU Lan Puéne ntas ts '1‘{/7—1 m» n 7 + Un+i H Tanss HH X p—1)n+1» Xn—l — Xn—1 = Xan—1 es Xsn—1 T he sS ‘L'/;u— f Représentons par (3) W=0 l‘équati0n qui a ponr racmes:X,. X,, . <, X; , - on pourra appliquer à cette équation (3)!la méthode exposée précédemment pour les équations de degré premier. Faisons 9 = t*, ou (4) 0— (Xo+aX,+...+a71X, _ \ ; 6 dépend d’une équation du degré 1.2.3...(n— 1) dont les coefficients peuvent s’exprimer rationnellement par ceux de l'équation (3); et si l’on représente par 00, 01,., 0p_9 les n— 1 valeurs que prend 9, quand on remplace & par les n— 1 racines imaginaires de x" = 1, on pourra former l’équation de degré n— 1 qui a ces n— 1 valeurs de 0 pour racines : représentons cette Cqunli.m par (5) G T= P1 O, s4= P2 DEs en A in2 0+ Pn——1 — 0;