SECTION V. — CHAPITRE T. 48x 518. MérHopes pe Descaures, pE TscmirnAUS et p’Eurer. — La méthode de Descartes consiste à iden- tifier l’équation proposée x—+pæ2+q2+rz+s=o avec cette autre (1‘2+f£+5’\,‘("‘2+f’æ+g’\=o, dontles racines peuventêtre considérées commeconnues. Au lieu d’employer la méthode des coefficients indé- terminés, comme fait l)cscartes, on peut cxprimcr que x?+ fx est un diviseur du premier membre de l’équation proposée, en effectuant la division et en éga- lant à zéro les deux termes du reste qui est du premier degré en x. On obtient ainsi deux équations entre les deux inconnues f et g, et, en éliminant £ ou f, onaune équation du sixième degré qu’on ramène aisément au troisième, ainsi qu'on l’a vu au n° 99. Cette méthode ne se distingue pas, au fond, des précédentes ; car la ré- solvante à laquelle elle conduit ne diffère de celle de Lagrange (n° 99) que par le facteur 2 qui divise ses racines, Je n’ajouterai rien à ce que j'ai dit au n° 191 rela- tivement à la méthode de Tschirnaüs, qui ramène l’é- quation æ* paæ3—+ q@+rz+s=o à la forme y{+Pn+0=e en employant la transformation Y= a+bx+a, et en disposant convenablement des indéterminées aetb. La méthode d’Euler consiste à élimincr3 entre les deux équations x=a+by+cy?+ u=6 S. —Alg. sup., ll >