SECTION V. — CHAPITRE I. 477 degré (/| ZΗ)'OZ-—|— Ves q Soient z, et , les racines de cette équation (4), on aura .Ï'() .'r2 ps ZO) .Ï'l .Ï'3 As Z, 3 connaissant ainsi les valeurs des fonctions xo X2 €t X4 X3, on voit de suite qu’on doit en déduire rationnellement les sommes x — X2 et X4 + X3, qui sont des fonctions res- pectivement semblables à xo X» et X X3. On a effective- ment \ X4 X3 <.r0 + x2) À# Xy X9 (.1,‘1 ce TS ou > p 0 à ; ds Z Z, (.rU H %3) —+ 20 (.ll + æ3)=—T; E d’ailleurs (;r0 = .172) n (.rl L .z‘&) =—p, donc r — p3 P3 —7 0H t da =s e ® Z, — 29 311>59 Connaissant x + X» et Xp X2, X4 + X3 Et Xy X3, ON peut former deux équations du deuxième degré, ayant pour racines, la première xy et x2, la seconde x, et x>, et le problème peut être regardé comme résolu. 516. On résout plus facilement l’équation du qua- trième degré, en prenant une résolvante dont la racine soit uné fonction linéaire des racines de l’équation pro- posée, ayant six valeurs égales deux à deux et de signes contraires. Soit t:.r… —2 + Te — Ta; cette fonction ayant six valeurs, elle dépendra d’une équation du sixième degré; mais parce que les valeurs de t sont égales deux à deux et de signes contraires, l’é- quation s’abaissera au troisième degré, en posant ? =0. On peut former directement l’équation en 6, puisqu’on