SECTION V. — CHAPITRE T. 471 ‘ D’après cela, la forme générale des équations dont nous nous occupons est / se 2s 2 — (murpe [=10 C01 0) 110007 æ a (13) ' æ (—r-Fou) f>s me” al—i-a fi=veeal } , al=r+a) 5 Le, a 12482 P désigne une quantité réelle quelconque, rationnelle ou irrationnelle ; « est un nombre entier positif ou négatif quelconque; enfin «'est un diviseur positif ou négatif quelconque du nombre 1—a + a°. L’équation 2—7]x2#+17]=0, dont nous nous sommes occupé au n° 166, répond aux valeurs liésolution de l'équation générale du quatrième degre. 513. Mérnonpe pe Fennant. — La méthode la plus simple pour résoudre l’équation du quatrième degré est aussi la plus ancienne ; c’est celle de Louis Ferrari : elle consiste à faire en sorte que les deux membres de l’équa- tion soient des carrés, et elle ramène, en conséquence, la résolution de cette équation à celle de deux équations du deuxième degré. Soit l’équation (1) x* + p +q@+re+s=0; en ne conservant dans le premier membre que les deux premiers termes, elle devient x +pas=—qx—re—s, : PE ct, en ajoutant aux deux membres T afin que le pre- k