SECTION V. — CIIAPITRE T. 469 on aura b'x — b > q ( 5) Qx se — ax+a »0 E DS 60?x, 03x étant mis au lieu de 99x et 092x. Les racines de l’équation proposée peuvent donc être représentées par J'ajoute que, si une fonction linéaire f ar—+6 exs —— » e «ax+6 dont le déterminant «6°’/— 6x peut toujours être supposé égal à 1, représente l’une des racines, Ox par exemple, on aura identiquement Hs 9(x)=0x, T\ c'est-à-dire e=tHa\6é> 0 d ds En effet, l'équation proposée étant irréductible, elle ne peut pas avoir une racine commune avec l'équation vx =0x quiest du deuxième degré, à moins que celle-ci ne soit identique. 512. Nous avons rencontré au n° 166 une équation du troisième degré dont les racines se développent en des fractions continues susceptibles d’être terminées par un même quotient complet. L’analyse qui précède nous fait connaître toutes les équations du troisième degré qui possèdent cette pro- priété. En effet, pour que deux irrationnelles x et x, soient développables en des fractions continues terminées par les mêmes quotients, 1l faut et il suffit (n° 16) que l’on ait #T e e DIN IES _ » a' x + b'