SECTION V. — CHAPITRE I. 467 on a d’ailleurs (2) uw= P et m= ( +aæ)=+0=2+P7+0; en faisant usage de ces formules, on trouve 2 (æ4 — %2) \/3=9æ'*+ 1r2Pa*+(15Q +P?) æ* + (roPQ — 2P3)x +(4Q? — P*Q). On peut ramener cette expression au deuxième degré, par le moyen de l’équation (1), et il vient alors (3) { (æ, — x2) JA = (6Q — 2 P?) 2*— (9R — 7PQ +2P3)x e — (40? — P?Q — 3PR). On voit, par les équations (2) et (3), que les racines x , et x seront égales aux deux valeurs de X tirées de la formule \ x= L_[(60—2P*)x8— (9R—7PQ+2P3+VA) x (4 z 2yA +(4Q? — PQ— 3PR — P yA)), en y donnant successivement au radical \/Â ses deux va- leurs. Il résulte de là que, si l'on comprend ce radical \: parmi les quantités qu'on regarde comme connues, les racines x, e€t X» s’exprimeront par des fonctions ration- nellès de x et des quantités connues. On peut aussi représenter ces racines par des fonctions rationnelles et linéaires de x, en suivant la marche indi- quée au n° 183. Effectivement, si l’on divise le premier nombre F (x) de l’équation (1) par l’expression (4) de X, que l’on désigne par V le quotient de cette division et par — U le reste, on aura \ O =F\r) =— VX —U.